Car la Maçonnerie a toujours pâti de la Guerre, de l'effusion de sang et du désordre; aussi les anciens Rois et Princes ont toujours été fort disposés à encourager les Frères, en raison de leur caractère pacifique et de leur loyauté par lesquelles ils répondaient en fait aux chicanes de leurs adversaires et défendaient l'Honneur de la Fraternité qui fut toujours florissante dans les périodes de paix.
Aussi, si un Frère devenait rebelle envers l'État, il ne devrait pas être soutenu dans sa rébellion, quelle que soit la pitié que puisse inspirer son infortune. Et s'il n'est convaincu d'aucun autre crime, bien que la loyale Confrérie ait le devoir et l'obligation de désavouer sa rébellion, pour ne provoquer aucune inquiétude ni suspicion politique de la part du gouvernement au pouvoir, il ne peut pas être exclu de la Loge et ses relations avec elle demeurent indissolubles.